La République Une et Indivisible du Père Duchesne, Foutre !!!

FOUTRE ! COMMENT QUE

LE PERE DUCHESNE

PREND PITIE ET JETTE DES PIECES A UNE DES 

FOUTUES NANTIES DU MEDEF

DEVANT

TANT D'IMBECILITE MALSAINE. 

"C'est singulier, le verbe "guillotiner" ne peut pas se conjuguer dans tous ses temps. ON peut dire : "je serai guillotiné", "tu seras guillotiné", mais on ne peut pas dire : "j'ai été guillotiné".                                                                                                            DANTON.

Moi, Père Duchesne, jamais ne n'ai eu autant envie de jeter quelques pièces à un(e) représentant(e) du Medef... Mais ce soir, par sa pitoyale prestation, sa pantomine grotesque, j'ai eu de la sympathie pour la représente du MEDEF qui tentoit de clarifier la position de son syndicat (et celui là, on l'entend pourtant dans les médias, contrairement aux autres, pourtant plus représentatifs)... Jamais je n'ai éprouvé autant de pitié pour une clocharde, que ce soir, en entendant madame Parisot tenter vainement de faire la scandalisée face aux exactions de ses comparses du MEDEF qui se gavent... La pauvre petite, qui tentoit de jouer les effarouchées face au accaparements éhontés de ces copains de l'escroquerie libérale... Pauvre marionnette  désarticulée !

Je n'ai jamais eu autant de pitié pour une réprésente d'un syndicat défendant les privilèges de sa classe que ces jours pour Madame Parisot qui est restée "fumace" devant les exactions, pourtant quotidiennes, de ceux qu'elle représente....

"Je suis fumace"... Par égard pour la condition féminine, déjà bien mise à mal par le royalisme inconséquent, je ne ferai pas de commentaire sur les prestations ridicules de madame la marionnette ayant succédé au baron mes f...s à la tête du Medef...

Mais non, madame, vous n'êtes point "fumace", vous êtes la représentante de quelques fumistes qui prennent en otage les françois, les travailleurs, et les petits patrons.... Fumace ! Non, fulminante plutôt ! car vos amis de l'escroquerie capitaliste sont pris la main dans le sac en volant l'argent des françois mis au chomâge ou à la préretraite.

Ainsi madame Fumace se trouve bien prise au dépourvu alors que la bise est entrain de venir, lorsqu'elle constate l'escroquerie de ceux qui partent avec 8 millions de parachute doré et 33 000 euros de retraite assurée par mois, jusqu'à sa mort qu'on espère la plus rapide possible pour le bien être des salariés... Bien prise au dépourvu alors que notre grand patronnat, et son nouveau patron politque, nous parlent de moralité ! de moralité et de la valeur travail ! Quelle foutaise !

Fr Aug LAUSSEL !!!