La République Une et Indivisible du Père Duchesne, Foutre !!!

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La France des cocus

LA FRANCE DES COCUS COCUFIES.

 

Ah foutre cul ! belle fange journaleuse de la France poisseuse...

Hier le triste spectacle de la parodie d'élection présidentielle qui est à la politique ce que la Star Ac est à la musique... Mais sans entrer dans les polémiques stériles du contenu (y en avait-il un) du débat Sarko-nabo et Royalo-Marie, le traitement médiatique vaut son pesant de bêtise. .. Voyons comment l'évenement est traité sur France 2 ? D'ailleurs, le traitement du débat dépasse le pire du loft  que la télé libéralo asservissante nous faisait subir il y a quelques années... Tout comme il y a quelques temps M6 nous montroit l'arrivée des crétins venant se prostituer sur les plateaux de ses émissions de TV poubelle, hier on nous montroit l'arrivée des héros... il ne manquait que Steve et Loana pour que la nullité soit parfaite... "Est-il arrivé ?" "ALlons nous voir ses chaussettes comme sur TF1" ? Et monsieur Poujadas demandait même au reporter sur place si les candidats s'étaient rencontrés avant... Comme si Poujade ne le savoit point.... Arrêtons la mascarade... TAPEZ UN ET DEUX A LA FOIS POUR LES ELIMINER TOUS LES DEUX !

Sur France 2, tout ce que Royal a indiqué est faux, tout ce que disait Sarko était juste (sauf lorsque c'est trop évident).  On nous montre tout de même sur France 2 la Royale sur les applaudissements de quelques militants gagés du PS... Et curieusement, pas d'images de la sortie de Sarko-Kapo... Pourquoi ? Et bien il faut aller sur Canal plus (ou ailleurs peut être) pour voir pourquoi... Parce que Monsieur Sarkoléon c'est fait copieusement siffler lors de sa sortie... Gageons que si Royal s'était fait sifflée, France 2 aurait montré cela en long, en large et en travers...

France 2 ou Europe 1... Je ne sais plus qui est le pire ? Hélène Fontanaud qui va chanter le Chant des partisans chez un Maurice Druon grabataire qui oublie sans doute le sens des paroles de sa propre chanson... une haie d'honneur de journalistes accueille Iznogoudosy... Bel exemple de neutralité.... "j'ai pas fait expres, on m'y reprendra pas, dit la journaliste gagée sur le blog dit politique d'Europe 01".... on pourrait dire, sur l'organe de propagande, un parmi d'autres, du nainpérator.  ET que disait Europe 01 ce matin ? La serpillière courtisane en chef de la chaîne,  Jean-Pierre Elkabbach, accusait la dinde royalienne d'avoir été agressive.. C'est quoi l'agression ? Pour un peu et le ci devant Elkabbach accusait la candidate socialo-réactionnaire d'être vulgaire.... C'est quoi la vulgarité ?

Monsieur Elkabbach, la vulgarité est-ce de traiter un parti politique de parti de "cocus" comme vous l'avez fait sur votre antenne ? Ainsi, monsieur le futur représentant officiel de la propagande sarkosyenne donne des leçons de morale... Au fait, à l'époque archaîque où vous appreniez votre métier de propagandiste, il n'y avait pas d'écoles de journalisme Monsieur Elkabbach ?

Nous allons ici reprendre quelques extraits de la partie "critique" de la biographie de Monsnieur Elkabbach, disponible sur le site de Wikipédia, histoire de bien situer ce beau personnage dont l'intégrité n'est plus à prouver, pas plus que son intégrisme ultra libéral...

Pour conclure, nous ne nous attarderons même pas sur la pitoyale prestation des journalistes présents (l'étaient-ils) sur le plateau.... Royale incontrolable, Sarko-léon menteur, Royalo-flou-artistique, reine de l'esquive et roi du mensonge... devant deux pseudos journalistes qui jouissent de leurs petits privilèges en dénonçant de tous les autres (mais pas les leurs) et qui n'assument même pas leur fonction, et s'abrittent maintenant derrière les règles imposées du débat du second tour...

                                                                                                         JACQUES ROUX

Suivent les extraits de Wikipédia concernant le serviteur de Sarko et de Lagardère :

Critiques

L'affaire Claude Sérillon

En octobre 1979, il inscrira également un cas exemplaire de censure dans l'histoire de la télévision publique, en écartant Claude Sérillon de la présentation de la revue de presse, après que le journaliste eut voulu évoquer l'affaire des diamants de Bokassa. À la demande du pouvoir giscardien, il avait été le commentateur du couronnement de Bokassa Ier, empereur de Centrafrique en décembre 1977.

L'affaire Pierre Botton

En 1992, il est mis en cause pour abus de bien social lors du procès de l'affaire dite des comptes suisses impliquant Michel Noir et Pierre Botton[réf. nécessaire].

Connivences avec Nicolas Sarkozy

En février 2006, il avoue publiquement avoir demandé conseil à Nicolas Sarkozy avant de choisir Hélène Fontanaud comme journaliste politique suivant le ministre de l'intérieur[1]. Jean-Pierre Elkabbach est interpellé par les journalistes de la rédaction d'Europe 1. À la suite de ces révélations, plusieurs journalistes décident de quitter la station[réf. nécessaire].

La polémique concernant l'investissement de M. Elkabbach pour M. Sarkozy est ravivée le 2 mars 2007 ; lors de la rencontre entre le candidat de l'UMP et Maurice Druon, compagnon de la libération, plusieurs journalistes les ont accueillis sur l'air du chant des partisans. La plus visible étant la journaliste d'Europe 1 (radio dont le président est Jean-Pierre Elkabbach), Hélène Fontanaud[2]. Cependant Jean-Pierre Elkabbach a démenti en faisant un droit de réponse au site du Nouvel Obs [3]. Droit de réponse que le site du Nouvel Obs ne comprend pas. Droit de réponse qui fait à son tour l'objet d'un droit de réponse par le MJS[4][5]

Lors de l'entre deux tours de l'élection présidentielle de 2007, il n'a pas voulu que le débat Royal-Bayrou se fasse sur Public Sénat, chaîne dont il est le patron, pour ne pas froisser ses relations avec Nicolas Sarkozy[réf. nécessaire].

Anecdotes

Taisez-vous, Elkabbach !

Au cours de l'émission Cartes sur table qu'il anime avec Alain Duhamel, de 1977 à 1981, sur Antenne 2, Georges Marchais aurait dit : Taisez-vous, Elkabbach !.

Oreillettes ]

Au milieu des années 1990, interviewant Jacques Chirac, Étienne Leenhardt répétait les questions soufflées à l'oreillette par Jean-Pierre Elkabbach[6].

Les guignols de l'info

Les auteurs des guignols de l'info présentent son personnage comme complaisant avec le candidat UMP et complètement abject envers Ségolène Royal. Sa marionnette traite la candidate du Parti socialiste de « pouffiasse ».

Antagonisme avec Ségolène Royal

L'émission Arrêt sur images du 18 février 2007[7], montre Ségolène Royal ne voulant pas parler aux autres journalistes à cause de la présence de Jean-Pierre Elkabbach. Cet antagonisme date d'une interview avec la candidate du Parti socialiste[8].

Œuvres

  • Taisez-vous Elkabbach ! avec Nicole Avril, Éditions Flammarion, 1992. ISBN 2080644211
  • 29 mois et quelques jours, Éditions Grasset, 1997. ISBN 224654341X
  • Passion et longueur de temps avec Édouard Balladur, Éditions Fayard, 1989. ISBN 2213023301
  • François Mitterrand : conversations avec un président, documentaire tourné entre avril 1993 et juin 1994, diffusé sur France 2 au mois de mai 2001 en cinq épisodes.

Notes

L'Humanité, 10 mars 2006



04/05/2007
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