La République Une et Indivisible du Père Duchesne, Foutre !!!

LA GRANDE POELADE DU PERE DUCHESNE
DE VOIR DES FROUTRASSIERS JOURNALISTES SE FAIRE BOTTER LE CUL PAR LEUR PRESIDENT ET EN ETRE HEUREUX.

"Si vous avez peur d'être instrumentalisés n'envoyez pas de photographes". N.Sarkozy.

Les méprisants non-voeux du Nainpérator à la presse heureuse d'être couchée..

On ne peut qu'être d'accord avec cette belle phrase du nainpérator en chef lors de ses voeux aux journalistes, présentés comme il se doit non point comme des voeux, mais comme un spectacle destiné à la seule gloire du satrape en chef, et du calife de la Sublime porte des chiottes de l'Elysée. D'ailleurs leur a-t-il présenté ses voeux ? Non ! il s'est présenté, lui, dans toute sa splendeur et son histoire préfabriquée, devant une masse de journalistes stupéfiés, liquéfiés devant ces propos ! sans réaction, et sans possibilité de réaction... A-t-on entendu le soir, lors du compte rendu des voeux par lesdits médiats, du foit que le Président pouvoit flinguer qui il le vouloit, n'importe lequel d'entre eux ? Avons nous entendu de ces journalistes qu'ils estoient privés de micros dès que le pape des médias prenoit la parole...  ? Débat, interview, rien....  ! Journalistes privés de micros pour éviter de pouvoir parler & de pouvoir dire au président : "vous n'avez point répondu à ma question"... Les voeux du président de la presse furent en foit le massacre et la honte de la presse, le moyen d'abaisser, d'assoir son pouvoir, son image, au détriment des journalistes qu'il est bon d'écraser devant l'opinion béate et sotte... car le président le soit très bien, ils ne sont plus crédibles, et taper dessus est facile... surtout qu'ils endent la joue.

Le Président se paye la poire des croupions courtisans journalistes qui viennent bouffer du petit four à la première sauterie du règne du Nainpérator 1er... A chaque question ou presque il répond par une pirouette, une moquerie, une méchanceté, surtout si le journaliste a l'effronterie de poser une question qui ne lui ploit... et que font les journalistes... ? ils poursuivent la mascarade.... Ils collaborent ... Jusqu'à quand ?

Frasques conjugales pour cons jugulés !:

Et le soir, à la TV porte parole, comme bilan, on nous montre un Président, ses dires, ses affirmations mensongères présentées comme véridiques, ou alors non pesées démenties le lendemain... comme véridiques et fondées... Mais ils aiment être pris pour des cons les journalistes ? Où achètent-ils leur carte ?
Le 4e pouvoir vous avez dit.... à crever de rire, le pouvoir de rien, si ce n'est celui d'être un esclave.... car le kapo nain soit comment réduire à néant la contestation, la moindre réflexion par l'omniprésence de ses frasques conjugales, intra conjugales, extra conjuguales, pour con-jugulés, surtout lorsqu'on parle des journalistes...

Une journaliste se présente comme"indépendante",  et le président répond "c'est aimable pour les autres""(1). L'ironie fait mouche, et les abrutis assourdis laissent passer, effectivement, tristement, en bon dépendants qu'ils sont... On ricane chacun, malsain, chicaneur, car c'est l'autre qui prend.... Mais non, messieurs les journalistes, c'est toute votre profession qui prend !!! C'est vous tous, TOUS, qui prenez la chicane dans la gueule... Ouvrez votre moule à dent pendant qu'il est temps... pendant qu'il est encore temps !!!

Combien sont-ils pour avouer qu'ils se font manipuler, à souhait ou par défaut ? Nous sommes mercredi, et sur toutes les chaînes que j'écoute, toujours aucune réflexion sur l'instrumentalisation médiatique dont ils sont les esclaves...

Qui va dire que le nainpérator ne répond, avec brio, à presque rien.... qu'il fait des jeux de mots, qu'il malmène, qu'il méprise, qu'il joue, et qu'ils sont des jouets... Car il faut dire qu'il est brillant, et qu'ils sont ridicules, nos journalistes....

Les cancres rient du bon élève méprisé ou l'absence de solidarité soldant la médiocrité  de la presse.

Méprisant, bousculant, insultant, prenant à parti à la presse qu'il a instrumentalisé, le kapo-président se permet de prendre comme bouc émissaire un journaliste... Combien réagissent ? Quelle solidarité ? La solidarité interne, discrète ? La solidarité se foit en public où elle ne se foit point, foutre cul !
Combat déséquilibré et lâche puisque, comme nous l'avons indiqué, le micro avoit été avec prudence retiré à la presse pour permettre au sicaire présidentiel d'assassiner en toute quiétude ce qui reste de presse constestataire... Les journalistes avoient le droit de poser une question, puis de s'en prendre plein la figure pour pas un rond, sans possibilité de répondre, de demander au nainpérator de répondre réellement autrement que par ses gesticulations médiatiques.... dont les médias furent donc les complices, & dont ils sont encore les complices.

Les valets notés au mérite sont notés à l'applaudissement & au gloussement de poule attendant son coq.

Pendant ce temps, le parquet des avocats à charge de la presse, ses messieurs & dames notés à la prestation chiffrée du gouvernement, avilis, s'empressent de rire à chacune des insultes du nainpérator tels les courtisans poisseux d'une cour d'opérette qui feroit bien rire si cette cour n'estoit point celle qui est supposée servir l'Empire françois. Spectable pitoyable de ce gouvernement convoqué pour l'occassion pour servir d'applaudimètre ayant autant de valeur que l'auditoire d'une émission de TFI galvanisé par quelque animateur de foire....
Les croupes fétides gouvernementales se dérident du rectum en entendant ceux qui les servent sans même s'en rendre compte se faire insulter à qui mieux mieux, se foire foutre au cul par celui qui les conchie devant la France entière... d'autant plus que ces mêmes méprisés sont ceux qui vont devoir rendre compte le soir même du triomphe de leur maistre sur eux-même... Les flatulences fécondées de passe droit et de gloire des fions régulés par la notation au mérite se font entendre, solidaires par obligation, se font entendre, méprisant de leurs vents pleins de furoncles nauséabonds, les journalistes qui restent sans voix... sans solidarité, sans aide...

Journalistes à la culotte baissée pour mieux se faire baiser.

Pauvres gens, supposés éduqués, supposés civiques, supposés professionnels, citoyens paroit-il, qui se doivent d'être des exemples pour la patrie des droits de l'homme et de la liberté de parole ; qui demain vont nous demander de côtiser pour reporter sans frontière & les VRAIS journalistes qui risquent leur vie pour la vérité...

...et qui baissent leur culotte devant le premier jean foutre cocufieur de la chose publique.... Ah ! que vous êtes misérables, à part quelques exceptions... ah ! que vous êtes des nains courbés devant les nains... ah  ! que vous êtes fourbes de rire de votre comparses alors que demain vous servirez le pouvoir ou alors vous servirez, à votre tour, de bouc émissaire à la vindicte du pouvoir.. Pauvres cloportes... pauvres croupes offertes et ouvertes... Allez vous enfin relever la gueule !!! Allez vous enfin faire votre métier . Allez vous nous informer ? allez vous aller contre la désinformation ?

Vous êtes heureux lorsque l'un d'entre vous se foit meurtrir par le nainpérator ? Vous êtes heureux lorsque l'un d'entre vous sert de bouc émissaire à la farce présidentielle ?  Vous êtes heureux d'attendre votre tour ? Vous êtes heureux de votre silence complice et ordurier ?

Silencieux car complices....

Vous préférez montrer votre ridicule à la face de la nation endormie ? vous préférez continuer la mascarade démocratique, vous préférez continuer à masquer la réalité du mépris démocratique qui se déroule devant vous, l'adoption traitresse du référendum pour la constitution européenne... Votre silence est coupable !! Chaque jour votre silence trahit le peuple plus en avant ! Chaque jour votre silence fait de vous les complices et "collaborateurs" du mépris du vote républicain... Chaque jour vous creusez la tombe sans fond de votre manque de crédibilité ! Vous préférez vous taire plutôt que d'avouer votre incapacité à avoir du répondant face à ce nainpérator qui vous manipule ! Combien à relever les non sens du discours présidentiel ? Combien à connaître ses dossiers ? Combien à couvrir l'escroquerie du massacre de l'Education nationale, parce que vous n'y comprenez rien ? Combien à couvrir l'escroquerie du traité consitutionnel volé par le Parlement ? Volé par le silence des socialites ? Volé parce que dans leur écrasante majorité les journalistes estoient favorable à ce traité constitutionnel, et qu'ils préfèrent son adoption contre le peuple, plutôt que de reconnaître leurs torts, et reconnaître qu'ils n'informent point le peuple de ce qui est tramé contre lui ? Combien à constater que le droit du tavail est bafoué, qu'on va le remplacer par la dictature du plus fort sous prétexte de négociation au sein des entreprises, alors que vous savez qu'au sein de celles-ci c'est la loi de la jungle et que l'objectif du gourvernement est de casser toute logique natioaale pour briser tout moyen de défense et de résistance du Peuple ? Combien à constater l'évidence, la destruction du lien social, la destruction de la solidarité nationale ? Vous le savez, tout cela, vous le constatez, vous le connoissez, mais vous ne dites rien, si ce n'est à mots couverts... combien le savent, mais tous se toisent....

Complices, sans honneur, sans fierté.. Et pire lâches à souhait... qui préfèrent voiler leur face et taire leur parole pourtant attendue en foisant parler le peuple dans de supposées émissions de direct où l'on laisse au citoyen la parole... saine parole, que, lui, le journaliste, a vendu et prostitué au pouvoir en place, à l'oligarchie à laquelle il appartient...

                                                                   L. N. CARRIER.

(1) http://www.lejdd.fr/cmc/media/20082/un-sarko-show-pour-journalistes_84560.html