La République Une et Indivisible du Père Duchesne, Foutre !!!

La République Une et Indivisible du Père Duchesne, Foutre !!!

Préfabriqués, Les brutes, Darquier... quelques morceaux de Trust.

PREFABRIQUES....

 

Quelques titres de Trust... la  première chanson sur la populatrion abreuvée de connerie qui a tout de même le droit de vote (sauf lorsqu'elle vote contre l'Europe des élites)... la seconde contre les régimes soviétiques, les "démocraties populaires" si exemplaires en matière de démocratie... La troisième pour nous rappeler que la crevure faciste n'est jamais loin, sous couvert de réconziliazion nazionalizme... Chanson qui rappelera à Charlie Hebdo que Trust n'est peut être pas, contrairement à ce qu'il affirmait : "le groupe le faciste qui existe en France"...

Acceptons peu à peu le facisme libéral, les tests ADN, les caméras de surveillance, les puces GPS implantées dans le cul de nos enfants comme dans l'oreille d'un chien, la sélection des migrants alors que toutes les lois, elles, prévoient la libre circulation de tout, sauf de l'être humain...

Où allons nous ? Comme dit "La Tordue" :
"- Où va-t-on papa ? - Je n'sais pas mais on y va.
- De qui descendons-nous maman Pour être aussi condescendants ?
- Où va-t-on papa ?  - Je n'sais pas mais on y va
Comm' dit mon tonton Plus on est d'cons plus ça s'voit
"

"Préfabriqués", TRUST, in "L'Elite".


Je crache à la gueule de tout ce système
Quand je marche dans la rue je ne porte pas d'emblème
Je vais où je veux je pense comme je veux
Pas de pression j'crache à la face des nations
Mes fréquentations ne regardent que moi
Mon futur mon passé tout est effacé
Je ne me sens par concerné par vos dires
Le con et l'absurde sont mon point de mire
De toutes mes forces je vous plains
Je ne pense que rarement à demain
Vos idées n'sont fondées que par overdose de télé
Je ne peux que prêcher la déraison la destruction


Quelle sensation la destruction
Tas de viande avariée vous allez payer
Quand vient la connerie vous êtes concernés
Je n'ai jamais aimé les gens préfabriqués...
 

Les Brutes,  in "Marche ou crève".

 

Au loin, je vois des drapeaux en pagaille
Autour de moi les gosses tombent sous la mitraille
Au loin, je vois des drapeaux qui vacillent
J'aperçois les marteaux pas les faucilles


Brutes assoiffées dessus me sont tombées
Sur le revers de l'uniforme un signe difforme
Qui me rappellent de tristes souvenirs

De gens fiers, poings levés courant dans les rues
Tchécoslovaques perdus
Tournés vers l'Ouest rien de nouveau
A la porte de chez toi réouvre le tombeau
La vue de leurs chars te laissera hagard, hagard.

Au loin, j'aperçois des drapeaux qui flottent
Le long des avenues, ces gens chaussés de bottes
Au loin, je vois des drapeaux qui vacillent
J'aperçois les marteaux pas les faucilles


Brutes bien entraînées, propagande guérilla,
Qui d'un seul geste, d'un seul te mettent au pas
Idéologie construite sur vos cadavres
Ecoutez-les chanter le fusil pointé !
Ecoutez-les vanter leur système politique
«Ou tu marche dans le rang par la trique et les flics »
Devinez-les courtois, « si tu bouges je t'abats » !
Devinez-les féroces quand au napalm ils brûlent vos gosses

Au loin, je vois des drapeaux en pagaille
Autour de moi les gosses tombent sous la mitraille
Au loin, je vois des drapeaux qui s'enflamment
En hurlant dans la ville courent vos femmes… vos                                                                        femmes… vos âmes


Restez donc insouciants, restez donc perplexes,
Invitez les à boire, à manger, à s'distraire
Assis à table ils parleront des cris qu'on fait taire
Ils parlerons de la mort et de son pouvoir


Ils viennent chez vous pour se satisfaire
De vous voir à genoux, de tendre la joue
Crachez-leur au visage dans l'ultime dans le sauvage !
Prenez-les dans vos mires, visez la tête sans fléchir !

Au loin, faites que je ne vois jamais de drapeaux
Que les gosses continuent à rire à être beaux
Autour faites que s'épanouissent les familles
Sans le poids d'un marteau ni l'ombre d'une faucille

 

Au loin, je vois des drapeaux en pagaille
Autour de moi les gosses tombent sous la mitraille
Au loin, je vois des drapeaux qui s'enflamment
En hurlant dans la ville courent vos femmes vos âmes….
Etc.

 

Au loin, je vois des drapeaux en pagaille
Autour de moi les gosses tombent sous la mitraille
Au loin, je vois des drapeaux qui vacillent
J'aperçois les marteaux pas les faucilles


Au loin, je vois des drapeaux qui flottent
Le long des avenues, ces gens chaussés de bottes
Au loin, je vois des drapeaux en pagaille
En hurlant dans la ville courent vos femmes vos âmes….


DARQUIER

 

L'homme respecté
Dont je vais te parler
Aujourd'hui vit tranquille
Dans un autre pays
A une certaine époque
Il trônait à Paris 
France occupée que chacun a sali


Un retour aux sources
Est quelquefois pénible
Surtout quand des gosses servaient de cible 


Je ne veux pas faire revivre le cauchemar
Ni vous reparler de " Nuits et Brouillard"
Vice dans la justice
Qui étaient ses complices ?

Parti en fumée
Le bon temps des sélections
Quand l'étoile jaune brillait sur les vestons
Passé maître dans les rafles
Sa signature posée, tatouée, condamnée
Une odeur le suit, c'est  celle des charniers
Darquier de Pellepoix
Retraçait le chemin de croix

Je ne veut pas faire revivre le cauchemar
Ni vous reparler de " Nuits et Brouillard "

Vice dans la justice
Qui étaient ses complices ?

Mais comment se fait t-il
Que tout d'un coup
A Auschwitz on n'ait gazé que les poux
Ne te crois pas à l'abri de la rechute
L'ordre sacré n'est pas consumé.
Saluerais-tu une nouvelle svastika
Ou serais-tu le premier à crever sous ses pas ?
Si tout était à recommencer
La tête haute irais-tu collaborer ?
Nouvelle race supérieure
Enfantée dans l'horreur

 

TRUST.



30/12/2007
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