La République Une et Indivisible du Père Duchesne, Foutre !!!

              LA SUISSE : L'AUTRE PAYS DU FACHISME




Voilà qu'avec 60 ans de retard  les suisses vivent leur petite décennie fachiste
et raciste, hors de tout contrôle et toute réprimande européenne. Ce «
pays » qui se targue de ses 716 ans, assume pleinement sa dérive nazillone
que certains considèrent déjà comme plus dangereuse que l'autrechien Haider:
le centre de la nébuleuse sombre européenne. En effet, outre les propos
racistes tenus et assumés à l'égard des frontaliers qui sont appelés
Shadocks, les néo-nazis défilent en toute légalité et les synagogues sont
incendiées alors que les centre de réfugiés sont la cible de tir à l'arme à
feu. Le tout sous le regard complaisant du ministre fédéral de la Police qui n'
est autre que le président de l'UDC. Eux qui s'excusent de leur racisme en
accusant le notre : "nous n'avons pas de Le Pen ministre d'Etat". Mais chez nous fort heureusement, un maire ne fait pas peindre sur les murs de sa commune : Nègre Go Home, ce qui est le cas de l'UDC André Corboz maire de Bex.

Blocher au mieux qu'il puisse être : les pieds dans la merde

Par contre lorsqu'il s'agit de ramener du fric, les suisses oublient leur
xénophobie anti-française, anti-arabe et anti-slave et savent bien venir
dans le pays de Gex le 31 juillet dernier, par l'intermédiaire d'un
conseiller Mark Muller bien propre sur lui, les yeux bleus et les dents bien
blanches, nous donner des leçons de management économique et nous conseiller
des lois anti-républicaine, car partisanes et créatrices d'inégalité, pour
donner au pays de Gex une législation particulière dans le but de s'
harmoniser avec eux, qui nous haïssent tant depuis des centaines d'années,
au nom des bénéfices qu'ils peuvent tirer de l'Euro. Car depuis l'
établissement de la monnaie européenne, les suisses ont vu leur pouvoir d'
achat baisser de 11% et le notre, chez eux, fortement augmenter, ainsi,
lorsqu'un fransouze va, par erreur dans cet autre pays du fachisme, il n'est
plus regardé comme un pauvre venant salir leurs rues. Pour le Fransouze, c'
est alors un peu comme un voyage dans le temps, dans une France des années
60 avec des prix exorbitants dans une monnaie de singe, au milieu de gens
trop polis pour estre honnêste et surtout trop lisses.

Confédération helvétique que Napoléon avait compris en la divisant, pays
inique qui fournissait des cartouches de Mauser aux Nazis, emprisonnait les
évadés français des stalag de la mort et engrangeait les richesses spoilées
des européens de religions juives exterminés en fournissant de surcroît des
volontaires aux légions de la Waffen SS. Vieille tradition suisse centenaire
de fourberie : souvenons nous de l'armée de Bourbaki.

Ne se souviennent ils pas que face aux germains d'Arioviste, ils avaient
fuit leur lac pour venir s'installer sur les bords de la Saône, devenant
ainsi des immigrés en Gaule ?

Personnellement je suis heureux pour la Suisse, car îlot infâme au centre de
l'Europe, jouisseur de l'or des nazis et enrichit par les marasmes putrides
du nazisme et de l'argent de la mafia que leur pseudo neutralité sécurisée
par une armée de fantoches protège, je les vois avec joie sombrer tout
doucement dans l'immonde et dériver ainsi tel des étrons nauséeux dans une mer
d'azur, pour couler doucement dans la division entre les francophones, les
germanophones et les latins pour ainsi devenir une nation européenne comme
les autres, après un grand lessivage sociale, culturel et moral nécessaire à
ce pays crasse et en marge du monde.


 BLANQ DESISLES. 10/08/2007